Ennahdha est aux ordres des forces américano-sionistes
ainsi que des monarchies wahhabites hégémoniques, protectrices de Ben
Ali dont elle était une officine de renseignements.
Elle
est sans foi ni loi. Elle est anti-tunisienne, anti-musulmane et
anti-arabe. Xénophobe et anti-algérienne. Vénale, veule, népotique et
macoute (Voir mon article sur le terrorisme institutionnel d’Ennahdha).
En effet, il n’est un secret pour personne que Rached Ghannouchi est l’obligé de Ben Ali auquel il doit la vie. Ainsi, il ne fait qu'appliquer les consignes de ses maîtres. Il fait du bénalisme sans Ben Ali
en s'entourant des conseillers issus de l'ancien sérail bénalien.
Nonobstant le fait que beaucoup de nahdhaouistes n'ont pas hésité à
faire les délateurs les plus zélés de l’ancien despote déchu en
dénonçant leurs condisciples moyennant des avantages pécuniaires et un
exil doré en France dans le cadre des accords de coopération de lutte
contre le terrorisme islamiste entre la Tunisie et la France. Et
pourtant ce n'est pas faute qu’Ahmed Manaï militant des droits de l’homme convaincu et sincère contrairement à des pseudos militants tels que Marzouki, Jendoubi et Ben Sedrine,
ni moi-même dans mes différents articles sur la nocivité de l’idéologie
islamiste, d'avoir mis en garde les tunisiens contre les desseins
criminels et mafieux de cette secte félonne, liberticide et terroriste.
Avec la scandaleuse et obséquieuse Conférence Internationale sur la Syrie et l'accolade troublante entre l'agent jihadiste et Mccain,
on a touché le summum de l'indignité nationale c’est la pire offense à
la conscience arabo-musulmane et une insulte à la mémoire des centaines
des milliers des victimes de la barbarie américaine en Iraq, en
Afghanistan, en Libye, en Syrie en attendant
les prochaines victimes qui pourraient être algériennes qui sont dans le
collimateur du nouveau désordre mondial des Illuminati.
Ennahdha
dévoile son visage hideux, tandis que les tunisiens se voilent la face
et feignent de ne pas regarder la réalité en face. Ils font la politique
de l’autruche. Ni les témoignages de Mourou, ni ceux de Karkar, co-fondateurs d'Ennahdha et encore moins des anciens militants sur l'implication d'Ennahdha dans
les années de plomb en Tunisie dont l'attentat meurtrier de Bab Souika,
ne semblent susciter aucune réaction de la part de l'opinion publique
tunisienne complètement tétanisée par des siècles d'oppression
despotique. Ghannouchi, le petit Führer
islamiste, malgré son passé terroriste, ses amitiés troubles (Bel Haj,
Tourabi, Omar Bachir, Ben Laden, Qaradhaoui pour ne citer que les
figures sinistres de l'islamo-sionisme), son bénalisme avéré, se
comporte comme s'il était le nouvel Emir du pays et ce sans que cela ne
choque personne outre le silence bienveillant des politicards tunisiens.
De quel droit cet homme qui en tout état de cause devrait être derrière
les barreaux pour payer sa dette à la justice tunisienne mène une vie
de château et bénéficie de privilèges de prince dont un passeport
diplomatique ? Depuis 4 mois Ennahdha ne cesse
d'accumuler les bavures et les dérives politiques, morales,
sécuritaires, unitaires, religieuses. Elle divise, sème la zizanie,
bâillonne, censure, réprime, soudoie, corrompt et profane les symboles
patriotiques dont Hachad et Bourguiba, s'attaque aux forces vives du
pays dont l'U.G.T.T,
piétine la fierté nationale en tendant l'obole aux pires ennemis du
peuple tunisien, s'assoit sur la souveraineté nationale et trahit
l'amitié indéfectible avec l'Algérie et le peuple syrien. Avec la secte
d'Ennahdha, la Tunisie est en train d'écrire
la page la plus sombre de son histoire, pire encore que l'invasion des
sauterelles arabisées dévastatrices des Bani Hilal et leurs affidés. Ennahdha est un poison létal pour l'âme tunisienne, aucune thérapie ne saurait le soigner si l'on tarde à l'éradiquer.
Msalmi Zaid le 04-09-2012
Msalmi Zaid le 04-09-2012